Wer bin ich ?

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* Willkommen. Céliane, geboren in Abidjan, wuchs in Pairs, sie ist vierzehn Jahre Alt und Im September beginnt sie ihr letztes Jahr auf dem Hochschule. Sie liebt Deutsch, Schreiben, Lesen, Musik, fashion & photography.  Ich weiß nicht, was noch mehr sagen ! * Welcome. Céliane, born in Abidjan, grew up in Paris, she was fourteen and in September she will begin her final year in college. She loves German, writing, reading, music, fashion and photography. I do not know what else to say !

lundi 30 mai 2011

Dès l'aube...


Lpluie du matirafraichie 
L'arbre brûlé, l'herbe noirci
Discrète et légèreelltombe 
Du ciel qui pleure cet hécatombe, 
Echaque goutte semble apaiser,
Petites fées des tempoubliés, 
L'âme meurtrie de ces condamnés 
En laissant s'échapper les démons ravageurs 
Dans une fumée noire de braise et de peur .


·´`✿   Petite inspiration du soir ! ✿´`·

lundi 23 mai 2011

Insomnie. [ 2 ]




En plein milieu de la nuit,
Quand s'échappe l'infini, 
Le temps s'enfuit,
Plus aucuns bruits. 

Seul dans cette immensité,
A songer, 
A cogiter,
A essayer de rêver.

La fatigue ne prend plus le dessus,
Mes yeux ne se ferment plus,
Les moutons me sautent dessus.

Le temps s'est écoulé ,
Les aiguilles se sont baladées ,
Le sablier s'est retourné .

Il est presque minuit,
Mon nounours s'est endormi,
Sa couleur légèrement ternie,
Sombre dans l'oublie.

Il est maintenant minuit,
Mon corps fatigué,
Mon esprit embrumé,
Cherchent le sommeil qui les fuient.

Mon écriture est pointue, presque illisible, saccadée,
J'ai même du mal à relire mes griffonnements,
Comme si une autre main tenait le crayon et le papier
Sans que je parvienne à en contrôler les élans délirants.

Quand les murs de la nuit se dressent,
Aucun refuges à part celui d'un lieu sans adresse.


Céliane K.

lundi 9 mai 2011

Insomnie. [ 1 ]






















Dans ma chambre noir,
Je griffonne des bouts de papiers,
Lorsque revient l'espoir,
D'à nouveau rêver.


Cette lumière dans mon cœur
Me suit et m'éclaire
Cette pâle mais forte lueur
Me parle mais ne fait que se taire

Elle m'illumine de l'intérieur
Elle me dicte ma destinée
Elle me fait tellement peur
Mais par elle, ma vie est guidée

Cette nuit-là,
Le marchand de sable avait décidé de ne pas passé.

Lorsque soudain,
Quand le sommeil revient,
Un bruit perçant m'atteint,
Le bébé du voisin,
C'est sûr, il a faim.

Coincer entre les quatre murs que la nuit a dressé,
Seule contre ma solitude, je griffonne des bouts de papiers.

Cette nuit-là , Morphée ne viendra pas.

Céliane K.

Petit délire [1]

-------- Simple envie. --------
C'est l'histoire d'un papier, qui se jette à l'eau et qui n'a pas pied.

J'ai 13 ans et je sais compter. (reste a prouvé !)

Connecté ne veut pas forcément dire devant l'ordi. 

Ah, tu vois t'as avalé une mouche, je t'avais dit de fermer ta gueule. 

Tu es d'où ? Oui très doux.

C'est l'histoire d'une courgette, qui court et qui se jette.

Je te déteste pas, mais si tu prenais feu et que j'aurai de l'eau, je la boirai.

Je ne crois pas en dieu, je crois en moi, remarque ça revient au même.

Dieu à créer l'homme avant la femme, il fallait bien un brouillon avant la perfection.

Les produits laitiers, sont nos amis pour la vie !!! (:

Quitte à jeter l'argent par les fenêtres, essaie au moins de viser la mienne.

Le jour ou la bêtise est tomber du ciel, je devais ne pas avoir de parapluie.

On est con, on est pote, ensemble on fait de la compote.

On dit toujours que les meilleurs partent en premier. Du coup j'ai peur pour moi.

Céliane K.

jeudi 5 mai 2011

Ce soir-là.



Ce soir là, j’étais devant elle. Face à elle. Regardant son immensité. Je regardais le mouvement d’ondulation des vagues. J’humais l’odeur de l’iode que j’aimais particulièrement depuis toute petite. En observant l’horizon, je vis un énorme bateau qui voguait au loin sous le coucher du soleil. Mes pieds s’ancraient dans le sable humide et l’écume entre-laçait mes chevilles. Le mouvement d’ondulation des vagues devenait de plus en plus agité. Je ne voyais plus le bateau, il devait s’être perdu au beau milieu de cette étendue bleue. Le dernier petit morceau de soleil fondait derrière l’horizon. Je sentais quelque chose se tramer dans mon corps. De l’eau glacée qui me touchait, j’avais l’impression qu’elle montait, le sentiment qu’elle s’emparait de moi. L’eau montait délicatement sur ma poitrine… puis mon cou… puis ma bouche, jusqu’à mon nez. Je ne pouvais plus respirer, l’eau montait encore, elle s’arrêta au niveau de mon arête nasale. Après ce fut le néant, je ne voyais plus, n’entendais plus et ne sentais rien. Comme si je me noyais.

Céliane K.

mardi 3 mai 2011

I like your fragance...

Assise sur le rebord de ma fenêtre,
Je t'observe.
Cheveux, yeux, nez, bouche, lèvres,
Tout passe au scanner.

Il manque tout de même quelque chose,
Ton odeur de parfum à la rose, 
Celle que j'aime particulièrement, 
Depuis longtemps.

Lost in love.

Je ne sais pas trop quoi dire,
Je te fais donc quelques vers, 
En espérant que tu comprennes mes dires,
Et que tu ne t'en débarrasses pas aussi facilement qu'on casse un verre.

Depuis ce fameux jour,
Celui où je t'ai dis bonjour,
Mon coeur n'a fait qu'un tour.

Je ne sais plus sur quel pied dansé,
Depuis que mon coeur a chaviré,
Pour ta beauté inexpliquée.

Je ne pleure plus,
Je suis simplement perdue, 
Dans ton sourire,
Je veux mourir.

Pour toi je sauterai sur les rails,
Mon coeur te réclame,
Je prie du plus profond de mes entrailles,
Mais pour l'instant je verse des larmes.

Brave soldat.


Bonjour,
Belle hirondelle,
Je te réveille en plein sommeil,
C’est le début d’un nouveau jour.

Lève-toi,
Brave soldat,
J’ai besoin de toi,
Pour construire des toits,
A toutes ces maisons là.

Lève-toi,
Brave soldat,
J’ai besoin de toi,
Pour me porter,
En cas de besoin.

Mon brave soldat,
J’ai besoin de toi,
Maintenant,
Et pour toujours.

Céliane K.